L'épouvanteur, tome 02 : La malédiction de l'épouvanteur
Voilà six mois que tu es l'apprenti de M. Gregory, me dit maman. Tu as déjà été témoin de bien des événements. A présent, l'obscur t'a remarqué et va tenter de te neutraliser. Tu es en danger, Tom. Toutefois, rappelle-toi ceci lorsque tu seras un homme, mon fils, ce sera au tour de l'obscur d'avoir peur, car tu ne seras plus la proie, tu seras le chasseur. C'est pour cela que je t'ai donné la vie." L'Épouvanteur et son apprenti, Thomas Ward, se sont rendus à Priestown pour y achever un travail. Dans les profondeurs des catacombes de la cathédrale est tapie une créature que l'Épouvanteur n'a jamais réussi à vaincre. On l'appelle le Fléau. Tandis que Thomas et M. Gregory se préparent à mener la bataille de leur vie, il devient évident que le Fléau n'est pas leur seul ennemi. lanquisiteur est arrivé à Priestown. Il arpente le pays à la recherche de tous ceux qui ont affaire aux forces de l'obscur! Thomas et son maître survivront-ils à l'horreur qui s'annonce?
Mon avis:
J'ai retrouvé avec plaisir Tom et son maître dans un nouveau combat contre l'obscur.
Dans ce second tome plus question de chasse aux sorcières ou aux gobelins, on passe un cran en dessus. Tom va devoir aider l’épouvanteur dans une tache qu'il n'a jamais réussi. Vaincre le Fléau!
J'ai beaucoup aimé ce second tome. Tom prend beaucoup d'assurance, au point de réussir tout seul de nombreuses actions. Le métier commence à rentrer et nous le voyons prendre plaisir à la tache. Néanmoins il reste un gamin et n'arrive toujours pas à laisser ses sentiments de côté, sa compassion et son attachement pour Alice.
On en apprend un peu plus sur le passé de l'épouvanteur et ce n'est pas pour me déplaire. Enfin on entrevoit ce qu'il a pu être avant d'embrasser ce métier.
L'intrigue est plus sombre et plus mortelle!
J'ai vraiment passé un excellent moment avec ce second opus et suis extrêmement curieuse à présent de voir ce que réserve la suite de la saga à Tom et à son maître.
17/20
challenge de la littérature de l'imaginaire 77/72